• Ici, on n'a même pas une seule publication qui ressemble à une autre, et on ne se plaint pas de l'approximation.

    Les dessins peu orthodoxes, il ne faut pas en voiler Sa Face,
    ça commence à faire Saint suaire.
    Ça donne envie d'aller prier ailleurs, sans se faire (di)lapider le crâne sur le Gogoltas.

    (Rajout de 18h30) A consulter
    --> un résumé en images >> "Caricatures: montrer ou pas"

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  • Ç'est donc çà, la couleur noire.
    Ça me rappelle une interview télévisée de Miles davis; à un moment, cessant de parler de musique, il déclarait, en montrant son avant-bras à la caméra:
    "Vous voyez, de près, ma peau n'est pas noire, là elle a des reflets bleus, et lorsque l'écarte les doigts comme çà, on voit de la couleur orange, rose…"

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  • Voilà le début d'une série "d'imparfaites".
    Série d'images imparfaites:

    Des ratés de couleur, qui, vus à la loupe, ouvrent de drôles de fenêtres sur la géométrie, les motifs, les abstractions, les matières…

    A notre échelle, par exemple, cette image apparaît noire.
    Mais à l'échelle des gnomes et des lutins, on voit çà:


    Détails de rêves
    Pauses lilliputiennes…

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  • James l'a dit, rien ne vaut les peaux d'saucisses
    pardon les



    (Dans les panneaux, il est écrit  "Almagne, 3 €, 100 kms.
    Dessin de James Bond de Grenouille)

    Mr Petite Pomme se voit plutôt en Smart pour aller travailler,

    (Dessin de Fazou)
    (Pfoui, sympa le parking!).
    Et l
    e coupé, "pour aller en France", tout simplement.

    (Mr. Petite pomme dans son deux places)
    Ahh, les esthètes!!

    (Sinon,
    ne prévoyez rien de clinquant pour leurs anniversaires; ils ne souhaitent que des cadeaux très simples :
    De la pâte à pets -si- et un parapluie.
    La pâte à pets, encore, je comprends, sur des fauteuils de cuir c'est toujours un plaisir, mais le parapluie? Dans des régions où il fait toujours beau? Je me demande…)

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  • Thème proposé par Coïtus Impromptus:

    "Un petit déjeuner en déconfiture".

    Cela fait plusieurs jours qu’il a l’air distrait.
    Plus que distrait, préoccupé, à présent.
    Absent, donc.

    <o:p></o:p>Son regard fuit le mien.
    Etait-ce dû à ses investigations en dehors du travail ? Un truc sur la généalogie, ou quoi ? «Des babioles, des recherches de filiation, un truc perso pour un collègue.»
    Est-ce qu’il a quelque chose à me dire ? Est-ce que ça va ?
    Il dit pourtant que ça va, rien de spécial. Non, non, ça va. Rien de spécial à dire.
    Peut-être est-ce le boulot ?
    Peut-être, oui ; quelques soucis mais sans plus. La routine.
    Lire la suite...

    <o:p></o:p>

     

    <o:p></o:p>Il est rentré tard ce vendredi, après une sortie au restaurant avec ses collègues de travail.
    Il s’est couché en grommelant « bonne nuit » et s’est endormi comme une masse.
    J’attends ce matin pour pouvoir discuter un peu plus avec lui, en tête à tête; l’entendre prononcer plus de trois mots d’affilée et tenter de nous retrouver un peu. Il est toujours pressé maintenant.

    Je trouve qu’il a quand même rudement changé depuis quelques semaines, même si soit disant tout va bien ! Mais bon sang, je ne vois pas pourquoi je me ferais un mauvais film rien que pour le plaisir de voir les choses en noir !
    <o:p></o:p>

    Il se lève d’assez bonne heure, une expression de fatigue en papier mâché sur la figure.
    Le week-end, je lambine toujours un peu au lit, vu que toute la semaine je suis debout à 4h30.
    Lui, il aime bien se lever tôt et il sort chercher du pain. En attendant je prépare le reste du petit déjeuner. Ça sent bon le café et le miel. Aujourd’hui, un rayon de soleil entre par la fenêtre, qui colore tout en brun et doré.

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>Mais ce matin, il tarde à rentrer.

    <o:p></o:p>Puis le café a définitivement refroidi.

    <o:p></o:p>Aucune trace de lui.

    <o:p></o:p>En fait, il n’est pas du tout revenu.
    Il n’a pas téléphoné, ni écrit.
    Comme on dit ici, il est sorti acheter des allumettes.
    Ce qui signifie partir sans laisser d’adresse.

    <o:p></o:p>Je l’ai aperçu, il y a seulement six mois, par hasard, dans la ville de M.
    Il sortait d’une boulangerie une baguette de pain à la main. J’ai failli me précipiter vers lui -mais pas spécialement pour la baguette- lorsque j’ai aperçu une fillette brune d’environ six ans accrochée à sa manche.


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