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indépendance sans issue
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Commentaires
1Gérard MéryMardi 17 Novembre 2009 à 12:00avec du blé c'est possible !Répondre2UtMardi 17 Novembre 2009 à 12:00Horrible!!! C'est où, que j'aille la défoncer cette porte; qu'elle reste ouverte tout grand, tout grand!!3CécileMardi 17 Novembre 2009 à 12:00Très représentatif d'une certaine réalité !4ambreMercredi 18 Novembre 2009 à 12:00GLLLLLLLLLLPPPSS !!!!!!!!5fazouJeudi 19 Novembre 2009 à 12:00il y a toujours un maïs6fazouJeudi 19 Novembre 2009 à 12:00Pour sûr7Gérard MéryJeudi 19 Novembre 2009 à 12:00Bravo Fazou tu dégaines rapide !8Gérard MéryJeudi 19 Novembre 2009 à 12:00ha ha ha j'adore !9Guern'de BéJeudi 19 Novembre 2009 à 12:00Y'apas que les artistes (indépendants ou non) qui se cassent le nez sur des portes sans issue (une porte sans issue??? bel oxymore), ou sur un mur. C'est l'humanité toute entière. C'était ma minute de pessimisme intense. De lucidité, je veux dire !10fazouVendredi 20 Novembre 2009 à 12:0011dick shaverSamedi 21 Novembre 2009 à 12:00et les artistes dépendants, eux, trouvent leur issue ? "artiste indépendant" forcément redondance des termes...12fazouLundi 23 Novembre 2009 à 12:00Les interprétations de chacun/e sont bien intéressantes! Dans les faits, il y a eu une réelle rupture au niveau historique entre le salon académique (qui proposait des œuvres de facture classique et des sujets mythologiques ou religieux par ex) et le salon des refusés à la demande de Napoléon III je crois), qui présenta les premiers artistes impressionnistes, puis le salon des artistes indépendants (les néo-impressionnistes) qui existe toujours. Hélas sans vigilance, un nom suffit-il à éviter l'impasse… beaucoup d'œuvres "indépendantes" m'ont l'autre jour semblé bien amateures…
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