Tous les coeurs prennent à peu pres la même placeCertains ne le montrent pas mais on la même taille.

... (suite à ma sauce du com de PC) ... et qu'ils soient pleins de toiles d'araignées ou pas, ils ont toujours envie de s'offrir ....

trois plombes j'ai mis pour réussir à poster! tout ça pour te dire que ce coeur est magnifiquement naturel et habité par le petit peuple. il sert donc malgré les toiles d'araignées.fazou, j'aime beaucoup tes dessins et ton blog en général. je vais te mettre dans mes liens si tu le permets. avec mes neurones qui débloquent parfois, il me sera plus facile de te retrouver et de passer de temps en temps chez toi. à vrai dire en ce moment je suis en convalescence de blog, ce qui signifie, pas trop d'articles et pas trop de visite.bonne soirée. marie.

Même physiquement il n'y a aucun cœur de pareil.Il y a des frileux et des téméraires.

Ceux des arbres, oui…

Merci beaucoup, Marie. J'apprécie aussi tes photos insolites, cette vision presque animiste de la nature, magique au plein sens du terme, avec elfes, trolls et tout un petit monde étrange!Je passe également du temps à rechercher tes empreintes, alors qu'il y a des solutions si simples!…

Pour toi qui as imaginé les arbres livres avec les feuilles pages, voilà un arbre qui se livre à cœur ouvert…

Attention que son amour ne soit pas trop étouffant avec un tel coeur...par contre avec toutes ses mains....

Quelle poésie dans tes mots!Ferais-tu flêche de tout bois?

Comment ne pas être ému, une cicatrice qui se transforme en coeur

Oh, il est bien bien plus petit, mais il ferait un joli nid… et sans araignées!

Un coeur grand comme ça, comme le tien, en somme...

Et pas gravé par des ados …

c'est ce qui s'apelle :avoir un coeur gros comme ça!!!bise et bon mardi

Ferais-tu flêche de tout bois? Tout en étant pas de bois j'ai quelques modestes cordes à mon arc ( à monarque ) rien à voir mais je la trouve bien ! !

OOOOOOOOOOOOOrhoo, c'est mimi !OOOOOOOOOOOOO

Avec toutes ces cordes à ton art, tu me laisses sans bois, je veux dire sans voie, enfin sans voix... Pendant ce banc là, ce temps-là, nous on s'en boit, on s'en va, on s'en voit! Pfiou...

Il était bien caché, crois-moi...