• Le Chikungunya, ou virus de "l'homme courbé", ne peut être combattu par aucun vaccin, ni traitement préventif médicamenteux. La maladie se traduit par une forte fièvre (plus de 39°C), des éruptions cutanées, des courbatures dans les articulations, obligeant le malade à se déplacer courbé. Il se transmet par les moustiques et la fatigue engendrée peut être mortelle.

    Face à l'ampleur de l'épidémie qui sévit sur l'île de la Réunion, le premier ministre Dominique de Villepin a "décidé d'accentuer la mobilisation des moyens de l'Etat dans le cadre d'une stratégie globale de lutte contre l'épidémie". Il a décidé d'affecter 400 militaires supplémentaires à la campagne de lutte contre le moustique.
    (Source Le Monde")
    J'ai un peu de mal à imaginer la lutte anti-moustique, mais bon…


    7 commentaires

  • Ce qu'il y a de bien -et je ne suis pas ironique- lorsque l'on marche dans une ville de plaine tout juste recouverte par la neige, c'est que les piétons que l'on croise vous disent bonjour et que l'on se sourit!

    Comme si la neige calfeutrait ces rencontres fortuites, en leur donnant du sens… Et nous révélant enfin le plaisir de voir un semblable, dans cet univers à la fois vide et compact.


    10 commentaires

  • "J'adore ta voiture!", dit James,"Je voudrais la même!
    C'est quoi déjà?

    - Une 106. Mais tu sais, c'est déjà presque une vieille voiture!"
    (Moi, quand j'étais petite, mon rêve c'était de conduire une 4Chevaux…).

    - "Oh mais elle me plaît trop. Je la voudrais vert turquoise.
    Je la trouve trop jolie, ta saucisse! ".

    C'est vrai qu'elle n'est pas flambant neuve, mais quand même.

    "Fazou", dit Petite Pomme, je voudrais une voiture comme la photo, là.
    - Mais elle n'existe pas. C'est James qui a inventé la voiture saucisse, et moi qui l'ai faite en photo.
    - Tu pourrais me faire une voiture saucisse-moutarde?" (sic)


    7 commentaires

  • Le talent -et d'autant plus le génie- ont un aspect tellement injuste:
    La virtuosité, c'est l'aspect royal et majestueux de l'aigle planant dans les cieux, tandis que les autres êtres humains, les quidam, avec leurs difficultés ou facilités communes, ont bien du mal à décoller du nid, ou ne pas traîner les ailes par terre, ou même simplement relever le bec de la terre.

    Après des galères, Yuri Orlov découvre son talent, dans la stupeur des faits et de sa révélation. Il a un don. Ce don l'aurait-il choisi, un peu comme lorsque Picasso déclarait que ce n'était pas lui qui peignait, mais que c'était la peinture qui le faisait peindre? Toujours est-il que Mr. Orlov a compris qu'il a la bosse du commerce. Le commerce très particulier des armes. C'est comme çà.

    On a un don, et on fait avec, et l'on accomplit son travail du mieux que l'on peut.

    Si vous ne l'avez pas déjà fait, je vous conseille d'aller voir "Lord of war" de Nicolas Cage.
    Extraits de film (V.O.  sous-titrées et bande-annonce en V.O. et version française) ici, en cliquant sur l'image.



    20 commentaires